+50 signes de trauma de vies antérieures et comment ils influencent votre vie aujourd’hui
- Meli Guidance FR 
- 26 sept.
- 9 min de lecture

Les traumatismes d’une vie passée ne disparaissent pas avec la mort du corps. L’âme conserve les souvenirs. Ces échos peuvent ressurgir sous forme de peurs inexpliquées, de douleurs physiques, de blessures émotionnelles ou même de désirs profonds qui semblent dépasser cette existence.
L’âme garde la sagesse, l’amour et les dons de chaque incarnation… mais aussi les expériences non guéries. Celles-ci se manifestent sous forme d’empreintes de vies antérieures : des schémas qui influencent la façon dont vous ressentez, aimez et avancez dans le monde.
Voici plus de 50 exemples de trauma de vies passées, organisés en cinq catégories qui reflètent les différentes façons dont l’âme se souvient.
1. Échos physiques des vies antérieures dans le corps
Le corps révèle souvent ce que l’esprit conscient a oublié. Ces empreintes peuvent apparaître sous forme de peurs, de douleurs ou de sensibilités sans cause claire dans cette vie.
- Claustrophobie ou peur des petits espaces : mourir dans une grotte, une cage, un bâtiment effondré ou une avalanche peut réapparaître comme de l’anxiété dans les ascenseurs, les foules ou les pièces fermées. 
- Peur des grands espaces : les âmes mortes sur un champ de bataille ou dans la nature sauvage peuvent se sentir en insécurité dans les lieux vastes et ouverts sans protection. 
- Peur de l’eau ou de la noyade : périr en mer, dans une inondation ou une rivière peut ressurgir comme malaise près des océans, des piscines ou même dans la baignoire. 
- Aversion pour le feu : ceux qui ont péri dans des flammes peuvent ressentir de la nervosité près des poêles, des feux de camp ou des bougies, même dans des contextes sûrs. 
- Peur des bruits forts : explosions, coups de feu ou batailles peuvent laisser l’âme sursauter face aux feux d’artifice, au tonnerre ou aux bruits soudains. 
- Taches de naissance ou cicatrices inexpliquées : certaines personnes portent sur la peau des marques correspondant à des blessures d’une autre vie. 
- Douleurs fantômes ou lourdeurs : chaînes, blessures ou labeur pénible peuvent réapparaître comme des douleurs chroniques aux poignets, aux chevilles ou au dos. 
- Peur des procédures médicales ou de la maladie : les âmes mortes lors de chirurgies rudimentaires ou de maladies peuvent redouter les hôpitaux, les aiguilles ou même les examens de routine. 
- Peur de conduire ou des accidents de voiture : une fin violente en carrosse ou en véhicule peut se traduire par de l’anxiété au volant, l’évitement des autoroutes ou des crises de panique dans la circulation. 
- Peur de perdre le contrôle : des morts soudaines par accident ou violence peuvent réapparaître comme de la panique face à l’imprévisibilité de la vie. 
- Échos de mort par hémorragie : ceux qui sont morts d’une perte de sang peuvent avoir de la difficulté à « relâcher », menant à de la constipation, des tensions corporelles ou des émotions refoulées. 
- Troubles alimentaires liés à la famine : les âmes qui ont connu la faim peuvent accumuler de la nourriture, trop manger ou craindre le manque même en sécurité. 
- Insatiabilité : la privation peut engendrer une faim infinie — de nourriture, d’amour ou de réconfort — qui ne semble jamais comblée. 
2. Blessures émotionnelles et relationnelles des vies passées
Quand le traumatisme provient de la trahison, de la persécution ou de l’abandon, il influence notre façon d’aimer et de faire confiance. Ces empreintes se manifestent dans les relations, l’intimité et le cœur.
- Peur de l’intimité : les âmes violées ou abandonnées peuvent résister à la proximité, craignant d’être blessées à nouveau. 
- Peur du rejet : avoir été renié ou exclu dans une vie passée peut se manifester par une grande sensibilité aux critiques ou l’évitement des relations. 
- Peur de la trahison : ceux qui ont été trompés par des partenaires ou alliés peuvent avoir de la difficulté à faire confiance aujourd’hui. 
- Blessures d’attachement : la perte soudaine d’êtres chers peut réapparaître comme une peur de l’abandon ou une dépendance affective. 
- Blessure de sorcière : les âmes persécutées pour leurs dons peuvent craindre le ridicule, douter de leur intuition ou rester silencieuses sur leur spiritualité. 
- Difficultés à s’exprimer : les exécutions pour avoir dit la vérité peuvent ressurgir comme une peur de parler en public ou un blocage du chakra de la gorge. 
- Peur de l’expression personnelle : quand l’honnêteté a autrefois entraîné une punition, l’âme peut hésiter à partager ses opinions ou ses besoins. 
- Peur des étrangers : la capture ou la trahison par des inconnus peut créer un malaise en présence de personnes non familières. 
- Peur du jugement : les procès publics ou humiliations d’autrefois peuvent se manifester comme une forte autoconscience et la peur d’être vu. 
- Sacrifice de soi : mourir pour protéger autrui peut se traduire par des schémas de surdon et de négligence de soi. 
- Autodestruction : les âmes qui ont mis fin à leur vie ou sont mortes de façon imprudente peuvent porter des tendances à l’auto-sabotage. 
- Obstination ou résistance au changement : des fins traumatiques et soudaines peuvent mener à s’accrocher au contrôle et à résister aux transitions. 
- Instabilité ou errance : mourir en exil ou comme vagabond peut réapparaître comme une difficulté à s’installer ou une quête constante de « maison ». 
3. Chaînes à travers les vies : esclavage, oppression et captivité
Certaines morts sont survenues après de longues périodes d’oppression ou de captivité. Ces vies laissent des empreintes sur notre manière de réagir face à l’autorité, à l’indépendance et au pouvoir.
- Agitation chronique ou désir de liberté : l’enfermement en prison ou l’esclavage peut se traduire par un fort besoin d’indépendance. 
- Peur de l’autorité : des maîtres ou dirigeants sévères peuvent laisser une âme méfiante envers les règles ou les supérieurs. 
- Faible estime de soi ou schémas de servitude : avoir été traité comme inférieur peut persister sous forme de difficultés d’estime personnelle ou de tendance à trop donner. 
- Peur de l’infériorité menant à la surcompensation : des humiliations passées peuvent déclencher une quête de contrôle, de statut ou de supériorité. 
- Peur de la punition : la cruauté ou la surveillance constante peuvent se manifester comme une anxiété liée aux erreurs. 
- Hypervigilance : le fait d’avoir toujours été observé peut se traduire par une difficulté à se détendre ou à se sentir en sécurité. 
- Traumatismes hérités : les âmes ayant connu l’esclavage peuvent résonner avec une peine, une colère ou une fatigue collectives. 
- Insécurité : mourir dans la pauvreté ou l’instabilité peut créer des peurs durables liées à la stabilité matérielle. 
4. Peurs existentielles et thèmes de vie
Certaines empreintes vont plus loin que la peur des personnes ou des lieux. Elles touchent à la survie, au sens de l’existence et au sentiment de mission de l’âme.
- Peur de la perte soudaine : perdre tout à cause de la guerre, de la famine ou d’un désastre peut se manifester par une anxiété constante liée à la sécurité. 
- Peur de l’échec : les punitions ou exécutions pour des erreurs passées peuvent créer du perfectionnisme et de l’anxiété de performance. 
- Culpabilité ou honte inexpliquée : les âmes ayant fait du tort à autrui peuvent porter un lourd fardeau d’autocritique sans en comprendre l’origine. 
- Peur de l’impuissance : l’emprisonnement ou l’oppression peuvent réapparaître sous forme de problèmes de contrôle ou de panique lorsqu’on se sent piégé. 
- Peur de l’inconnu : des morts soudaines ou mystérieuses peuvent ressurgir comme malaise face au changement ou à l’incertitude. 
- Peur de la mort : des fins traumatiques peuvent se transformer en phobies de l’avion, de la noyade ou de la maladie. 
- Inertie : des déclins longs et désespérés peuvent se manifester comme un manque de motivation ou une résistance à bouger. 
- Orgueil excessif : des âmes autrefois humiliées peuvent compenser avec de l’arrogance pour éviter de se sentir à nouveau diminuées. 
5. Les désirs de l’âme façonnés par la mort
Toutes les empreintes ne se manifestent pas sous forme de peur. Parfois, les échos les plus puissants sont des élans profonds — l’âme désirant ce qu’elle a autrefois perdu. L’enseignant spirituel et médium Ainslie MacLeod décrit ces élans comme les 10 désirs fondamentaux de l’âme.
- Désir de sécurité : une soif de stabilité après des vies marquées par le danger. 
- Désir de richesse : un besoin de confort matériel après être mort dans la pauvreté. 
- Désir d’éducation : une faim de connaissance lorsqu’elle a été refusée dans le passé. 
- Désir de glamour : une envie d’éclat ou de rayonnement après des vies passées dans l’ombre. 
- Désir d’attraction : le souhait d’être perçu comme désirable après des vies marquées par la honte ou le rejet. 
- Désir de statut : la quête de reconnaissance après être mort impuissant ou humilié. 
- Désir de santé : une attention portée au bien-être après des vies écourtées par la maladie. 
- Désir de pouvoir : un élan vers l’influence après des vies d’oppression. 
- Désir de célébrité : vouloir être souvenu après avoir été effacé de l’histoire. 
- Désir d’immortalité : le besoin de laisser une trace durable après avoir été oublié par le temps. 
Pourquoi ces empreintes ont une portée
Ces schémas ne sont pas des punitions. Le karma n’est pas une revanche, mais un processus d’équilibre et d’évolution. L’âme répète ce qu’elle n’a pas encore guéri.
Grâce aux archives akashiques (aussi appelées annales akashiques) vous pouvez explorer l’origine de ces blessures, rappeler à votre âme que le danger est passé, et ouvrir la voie à la guérison.
Lectures akashiques et formations en annales akashiques
Guérir les traumas de vies antérieures est un travail délicat, et personne n’a à le faire seul. Une lecture akashique offre un espace sécuritaire pour révéler ce que l’âme a porté à travers ses incarnations et amorcer le processus de libération.
Pour celles et ceux qui ressentent l’appel d’aller plus loin, j’enseigne également comment ouvrir vos propres Archives. Mes formations sur les archives akashiques vous apprennent à vous connecter à vos guides spirituels, explorer vos histoires de vies antérieures et développer votre confiance dans l’utilisation de cet outil de guérison.
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Vous y découvrirez :
- Ce que sont les archives akashiques 
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L’âme est prête à se libérer de ses anciens fardeaux. Lorsque vous reconnaissez ces échos pour ce qu’ils sont — des souvenirs, et non un destin — le chemin vers la guérison s’ouvre.
FAQ : Traumas de vies antérieures et empreintes de l’âme
Les traumatismes de vies antérieures peuvent-ils affecter ma santé?
Oui. Les empreintes de vies passées se manifestent souvent dans le corps sous forme de peurs, de sensibilités ou même de douleurs fantômes. Par exemple, une personne qui s’est noyée peut ressentir de la panique dans l’eau, tandis qu’une autre qui est morte de faim peut avoir des difficultés liées à l’alimentation ou à la sécurité alimentaire.
Comment savoir si une peur vient d’une vie antérieure?
Le signe le plus clair est quand la peur semble irrationnelle ou hors contexte. Si vous n’avez jamais eu de mauvaise expérience avec l’eau mais que vous paniquez dans un lac, ou que vous ressentez une forte inquiétude près du feu sans raison apparente, il pourrait s’agir d’échos d’une autre vie.
Les empreintes de vies passées sont-elles la même chose que le karma?
Pas exactement. Le karma n’est pas une punition — c’est un processus de croissance et d’équilibre. Les empreintes, elles, sont les souvenirs persistants d’expériences non guéries. Les reconnaître et les libérer aide à se libérer des anciens cycles et à évoluer.
Peut-on guérir les traumatismes de vies passées?
Oui. Grâce à des pratiques comme la lecture des Archives akashiques, la méditation ou les soins énergétiques, l’âme peut être rappelée au fait que le traumatisme appartient au passé. Une fois la mémoire reconnue et relâchée, le schéma commence à se dissoudre.
Que sont les désirs de l’âme et pourquoi sont-ils importants?
Les désirs de l’âme sont des élans transportés d’une vie à l’autre — comme le désir de sécurité, de santé ou de reconnaissance. Ce ne sont pas des défauts, mais des échos de ce qui n’a pas été complété. Les reconnaître permet de mieux comprendre vos motivations et de trouver un équilibre.
Les taches de naissance ou cicatrices sont-elles vraiment liées aux vies passées?
Beaucoup de traditions le croient. Certaines personnes portent des marques corporelles correspondant à des blessures d’autres vies, comme de subtils rappels de ce que l’âme a traversé.
Pourquoi l’âme conserve-t-elle ces traumatismes? Du point de vue de l’âme, chaque vie est ressentie comme « la première vie ». Tant que le traumatisme n’est pas guéri, la mémoire reste active. Le reconnaître à travers les Archives akashiques apporte une nouvelle perspective et aide l’âme à s’en libérer.
Meli Guidance est une praticienne avancée certifiée en archives akashiques spécialisée en vies antérieures. Sa mission est d'aider les gens dans leur développement spirituel en les reconnectant avec les désirs de leur âme et leurs missions de vie. Elle croit qu'en se souvenant de nos vies passées et en voyant quel est notre plan de vie pour notre incarnation actuelle, nous pouvons atteindre le plus haut potentiel de notre futur « soi ». En plus de canaliser des guides d’âme pour des personnes du monde entier en anglais et en français, elle propose des cours et des séances de coaching à toute personne qui souhaite développer ses capacités de communication avec le monde invisible.
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